#3 - Ô Jardin, mon beau jardin, dis-moi ce qui bloque ?
Bonsoir à tous, suite du jardin pour deux-mille-vingt-cinq. Quelques jours ont passé et je me suis entretenue avec mon compagnon, avec Georges, avec mon masculin, sur cette possible structure à entreprendre. Il est vrai que j'appréhendais un petit peu. Je me disais encore du travail et c'est vrai que la culpabilité montait en moi. Et je me lance alors je lui dis voilà ce qui se passe, ce que j'ai trouvé, le nombre de piquets, la hauteur.
Speaker 1:Alors à la fois il écoute, ils seront sur le terrain et il dit visualiser les choses. Et puis je dis ok, tu veux qu'on qu'on regarde, on prend les baguettes et on voit où placer les piquets Oui oui on y va. Et là il se passe des choses surprenantes. À la fois on est plus sur un octogone mais sur un un décaèdre. Je crois que c'est comme ça que ça s'appelle.
Speaker 1:On a plus 8 côtés mais on en a 10 avec les baguettes. Et puis Georges voit une structure en bois avec une implantation en métal et voilà il se précipite, il voit les choses tac Et je n'avais pas fini de lui dire lui transmettre exactement tout ce qui a tout ce qui avait déjà été préparé en tout cas soufflé par la vie. Et c'était assez assez surprenant. Parce qu'on n'arrivait pas à avancer. S'attirer d'un côté, s'attirer de l'autre.
Speaker 1:Et au bout d'un moment, je prends les bagages, je suis là, il faut qu'on regarde ce qui se passe, mais ça n'a plus rien à voir avec ce qu'avait été préparé. Et donc grâce aux baguettes on a à nouveau des messages. Et la vie faisait comprendre dans les enseignements qu'il ne s'agissait pas de faire une structure costaude pour affronter la vie comme si la vie était dure, mais mettre de la souplesse et être plus à l'écoute de la vie. Ça m'a fait penser à la fable du chêne et du roseau. Quand le vent souffle, le roseau peut plier.
Speaker 1:Il ploie alors que le chêne casse. On était vraiment là-dessus. George avait peur que si la structure n'était pas suffisamment solide, bien c'était le drame, elle allait s'envoler, aller sur le toit peut-être de la maison, l'abri de la maison et ça entraînerait vraiment des des choses irrémédiables. Alors les baguettes ont calmé l'affaire. Il y a eu un soin avec cet enseignement de plus de souplesse, plus d'écoute de la vie, en faisant confiance.
Speaker 1:Et ça nous a fait passer autour des piquets, c'est-à-dire qu'il y avait ces 10 piquets qui étaient plantés dans le jardin avec un au centre, 10 qui, 10 piquets plus un axe central et ça a fait faire un tricotage intérieur extérieur de chaque piquet. Et à la fin, chaque piquet était relié à l'axe central, revenait avec un lemniscate et on repartait sur le suivant. Voilà, ça faisait une fleur à 10 pétales au final. Et le message était là, c'était vraiment être à l'écoute de la vie et suivre. Et fabuleusement, le 5 avril, c'est-à-dire hier, on avait une journée portes ouvertes, une très belle journée où dix-huit personnes sont passées, des personnes intéressées, curieuses et puis parmi elles, 2 âmes mises de coeur, de belles âmes venues de Chambéry qui pratiquent elles aussi la médecine symbolique.
Speaker 1:Alors on a d'abord abordé l'aspect yin et yang dans sa dynamique et ce qu'était une harmonisation. Que sont les polarités et voir l'harmonisation comme un curseur qui se déplace entre 2 polarités, toujours dans le mouvement, la souplesse. Et puis face à notre interrogation sur la structure au jardin, car on n'avait pas beaucoup avancé avec mon compagnon, j'ai proposé à mes 2 amis de, de faire un un t p public aux personnes qui étaient présentes, c'est-à-dire que nous, en tant que constructeur de ce jardin, en tout cas que propriétaire, et complètement relié à cet espace, on allait être sujet et puis aller voir comment on pouvait avancer grâce aux baguettes en médecine symbolique pour comprendre, aller plus loin dans ce qui peut coincer ou voilà comment avancer. Pour y voir plus clair, on a mis un certain temps déjà à poser la question correctement. Le jardin est le miroir de nous-mêmes.
Speaker 1:Ce qui était intéressant, c'est que ça nous concernait, mais ça pouvait parler à tous présents pour cette porte ouverte. Notre demande à la vie a fini par être formulée de la façon suivante comment rendre le potager prospère et pour cela a-t-il besoin d'une protection. C'est Georges qui est désigné pour en parler le mieux. Du coup, c'est le masculin. Et cette harmonisation vient nous parler d'ancrage.
Speaker 1:Georges repart sur ce qui concerne la solidité. S'affirme au mot solidité, s'affirme aussi au mot occasionnel et au mot central. Alors quand ça ferme, ça veut dire qu'il y a quelque chose qui qui bloque. Il y a eu un soin, on a fini par avancer, par mettre du sens et ça nous a fait retricoter le circuit comme on l'avait fait la fois précédente tous les 2. On entrait et on sortait en avançant tout autour des piquets, de la structure matérialisée.
Speaker 1:Ce qui était drôle, c'est que quand Georges repartait sur la structure en disant, je sais comment faire, il avait tout eu, ça fermait à nouveau. Et puis à l'issue du soin, les baguettes ont demandé à Georges de venir se positionner à ma droite, se placer à ma droite, donc le masculin devait bouger. Se placer à ma droite et Christiane nous a demandé de nous tenir les mains. Nous étions côte à côte féminin et masculin et nous avons parcouru côte à côte ensemble. Le cercle est cette fois-ci non plus dans le sens cosmique, mais dans le sens tellurique.
Speaker 1:Quel beau message. Pour rendre le potager prospère, il nous fallait ancrer notre entente ou encore l'union entre masculin et féminin. Comme s'il y avait eu un curseur sur ce continuum de de résistance, de résilience entre la fragilité la plus subtile, la solidité la plus matérielle. Nous avons été bien fatigués après ce soin. Nos amis, curieux des portes ouvertes sont repartis et tous les dieux, on était vraiment fatigués.
Speaker 1:Si belle et si bien que le lendemain, on a fait une énorme sieste. D'abord on s'est levé tard et le lendemain on a fait une énorme sieste l'après-midi. Et puis fin de journée, nous nous posons donc le 6 avril nous nous posons, nous discutons ensemble de la structure. Ensemble, nous choisissons. Nous choisissons qu'elle soit pérenne dans le temps.
Speaker 1:Nous prenons les baguettes et la question est la suivante. Quelle méthode allons-nous suivre pour faire cette structure Allons-nous suivre la méthode de Pereilandra qui a positionné en amont la taille, l'octogone, oui la taille du rayon, enfin c'est c'est impressionnant avec une précision incroyable. Ou allons-nous suivre les baguettes qui nous ont placées d'expliquer d'une façon un peu arbitraire ou aléatoire dans le potager. Et les baguettes clairement désignent Pereilandra. C'est-à-dire que la structure va bien être posée avant les allées et ce sera bien la structure selon Pereilandra qui va guider nos pas.
Speaker 1:Donc merci encore pour cet enseignement. Nous retenons qu'avec l'ancrage, c'est par-dessus tout l'entente, la décision unanime du couple dans le même sens. Oui les résultats divergeront. C'était le message de la première étape quand j'ai commencé à me perdre là dans dans toutes ces méthodes et ces questionnements. Et oui, quand on cherche trop compliqué, mais bien le mental peut nous perdre.
Speaker 1:Mais quelque part, la structure avec cette pérennisation qu'on entend un petit peu dans Père et l'Andra, est quelque chose qui se pérennise. Bien ça nous permet l'ancrage. Et sur notre site, sur notre site, pour être dans son Yin, il est important de se protéger parce qu'on est vraiment vraiment en plein soleil. Donc suite au prochain numéro sur ce jardin potager expérimental et j'espère qu'on sera encore plus nombreux pour les prochaines étapes, à voir la naissance de cette structure et puis le dessin des allées. Donc à très bientôt et de tout coeur, vive la vie magnifique surprise à tous à bientôt au revoir
